TWITTER FILES / Elon Musk lâche une bombe : le gouvernement américain payait des millions de dollars à Twitter pour censurer les informations du public

Elon Musk l'avait annoncé dès avril lorsque sa proposition de rachat avait été acceptée par la direction du réseau social : redonner à Twitter se lettres de noblesse en (re)faisant de la plateforme numérique un haut lieu de la liberté de presse au moment où les suspicions de censure étaient monnaie courante à son propos. Dès fin octobre, date de sa prise de fonction controversée à la tête de Twitter l'homme le plus fortuné de la planète a commencé son lavage à grande eau de sa compagnie par une série de dossiers (les Twitter files) sur les micmacs de l'ancienne équipe dirigeante et, depuis plus d'une semaine, c'est au tour de sa collusion avec le redoutable FBI qui est mise en lumière. Aujourd'hui, Musk est allé plus loin avec cette révélation explosive...

Après qu’une commission parlementaire (la commission du 6 février dernier) a recommandé des poursuites pénales contre l’ancien président américain, Donald Trump, notamment pour son rôle actif, via les réseaux sociaux et principalement Twitter, dans l’assaut du Capitole (le siège du Congrès américain, équivalent de l’Assemblée nationale) après la proclamation des résultats de la dernière Présidentielle américaine, voilà une révélation d’Elon Musk qui fera l’effet d’une bombe et qui donnera bien du grain à moudre aux partisans et détracteurs de l’ancien locataire de la Maison blanche.

Dans un tweet qui fait suite aux Twitter files (les dossiers de Twitter), exhumés par la nouvelle direction du réseau social, Elon Musk révèle que « le gouvernement américain payait des millions de dollars à Twitter pour censurer l’information du public ».

Elon Musk

Au pays dit de grande démocratie, où la liberté de presse est érigée en religion, en voilà une affirmation qui remet en cause bien des idées reçues et qui en dit long sur la dictature rampante en œuvre en haut lieu au pays de l’Oncle Sam. Passent encore les inquisitions récurrentes du FBI sur les comptes « hérétiques » et, souvent, simplement œuvres de rigolos assumés, les shadow ban ou les suspensions intempestives de comptes hors du politiquement correct, mais une entreprise de censure à grande échelle et à coups de millions de dollars (du contribuable américain), voilà une grosse révélation qui devrait faire grand bruit.

C’est en particulier l’ancienne équipe dirigeante de Twitter qui devrait aussi se faire un sang d’encre avec cette bombe qui peut leur valoir les pires persécutions ; de même que les autorités politiques impliquées dans cette censure. Surtout au moment où il est établi que la grande démocratie a frôlé le pire après le fameux et tristement célèbre assaut du Capitole.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Articles similaires

Bouton retour en haut de la page